dimanche 29 novembre 2009

L'art d'être paradoxale...

Dans mes derniers messages, je disais que j'avais hâte sans bon sens de revenir.

J'ai encore hâte de revoir mon amoureux, ma famille et mes amis, mais... Je suis un peu triste que ça se termine déjà.

Je commence à avoir une vie de quartier et à faire plus de sorties. Je me rends compte que je n'ai pas assez fait la touriste et que je n'ai pas fait le musée d'Orsay, le musée du quai Branly, le cimetière du Père Lachaise, le ... Et je ne sais pas si j'aurai le temps.

Tsé, vouloir être à deux endroits en même temps? Vouloir être avec les gens qui sont loin, mais rester? C'est ça qui se passe en ce moment.

lundi 23 novembre 2009

Paris, capitale de la mode

Paris, capitale de la mode, vraiment? En fait, on y trouve les mêmes magasins qu'ailleurs ou à peu près. On a donc des choses assez semblables au Québec. Bon, il y a les grands magasins (Printemps et Galeries Lafayette) et les designers ont plus d'adresses qu'à Montréal, mais sinon, pour ceux qui ont peu de moyens (comme moi), ça reste équivalent.

Par contre, je n'ai jamais eu autant le goût de magasiner (et parfois d'acheter) des parfums, du maquillage, des chaussures, de la maroquinerie. Ça ne m'était jamais arrivé d'avoir envie d'un rouge à lèvres Yves Saint-Laurent ou d'un sac à mains Louis Vuitton.

Ça doit être l'air.
Ou le fait que les gradués du Celsa qui travaillent maintenant en marketing soient efficaces. :)

vendredi 20 novembre 2009

C'est Noël!

Petit billet rapide POSITIF (car je suis consciente que mes billets sont négatifs ces temps-ci, mais ne vous inquiétez pas, je suis toujours aussi souriante qu'avant!).

Hier, j'ai acheté mon calendrier de l'avent... et de l'avant-Québec :) Le 22 je devrai malheureusement manger trois chocolats d'un coup... Mais ce calendrier a une double signification, j'adore!

Hier également, je suis passée devant les grands magasins le Printemps et les Galeries Lafayette. On peut comparer ces magasins au Ogilvy, Holt Renfrew et LaBaie, mais encore plus au Harrod's à Londres. Il y a de grandes marques (YST, Chanel, Dior, Prada, nommez-les) et des plus normales (Mexx, Esprit, etc.). Rayons chaussures, alimentation, jouet, enfants, mariée, lingerie, cosmétiques, etc... On y trouve de tout, surtout du cher. Bref, tout ça pour dire que les vitrines de Noël du magasin le Printemps sont MAGNIFIQUES! C'est comme la vitrine du Ogilvy, en aussi beau sinon plus, et il y en a peut-être 20!

Aussi, hier je suis allée voir Twilight chapitre 2. Encore une fois, j'étais comme une adolescente pré-pubère béate devant Edward. Robert Pattinson ne m'attire pas du tout. Mais Edward......... Oh my god!

Finalement, dans deux jours, nous serons le 22 novembre. Ça veut dire que je repars dans un mois! Oh là là! Comment je vais réussir à terminer ma nouvelle (qui a avancée, finalement!) et à étudier tous mes examens? C'est la panique... Comme à chaque fin de session. Mais je n'ai pas de garçon pour me distraire (sauf Edward) et pas de boulot. À moins que j'obtienne le contrat d'assistante de recherche pour le département de communication de l'UdeM... Ça ferait du bien au porte-feuille, moins aux temps libres. Mais ce serait 10 heures par semaine, ce n'est pas trop mal.

jeudi 19 novembre 2009

Montée de lait

Je n'aime pas me faire reprendre parce que je dis "j'ai appliqué pour un emploi", alors que la personne vient de me parler de babysitting. Je sais qu'appliquer est un anglicisme dans ce contexte-là, mais mettre "babysitting" dans un CV c'est pire, je crois.

Au moins, je comprends parfaitement le sens de "postuler". Mais si je parle de "magasiner", "stationnement", "gardiennage" ou "fin de semaine", des Français doivent penser quelques instants avant de réaliser que je parle de "shopping", "parking", "babysitting" ou "week-end".

Je ne sais pas ce qui est le pire. Mais ne venez pas me dire qu'au Québec, nous sommes étranges de parler de la protection de la langue française alors que nous utilisons des anglicismes. Vous parlez le verlan en mettant des mots à l'envers, est-ce vraiment mieux?

Aussi, je n'aime pas quand l'autre Québécoise en échange avec moi pose une question en classe et que la personne derrière moi dise que c'est une des "québéquouaises" qui a parlé. Imite mon accent si tu veux, mais fais-le bien.

Je n'aime pas non plus me faire dire que ce doit être plus facile pour moi de comprendre les Français, qu'eux de comprendre les Québécois. Les personnes incompréhensibles au Québec pour les Français restent peu compréhensibles pour moi aussi, même si le bagage des expressions peut m'aider. Sauf que l'inverse est aussi vrai. Mettez moi devant un vieux monsieur marseillais sans dentier, je ne comprendrai rien.

Lors de mon oral le mois dernier, j'ai bien aimé que la prof dise à mon amie allemande et moi que nous étions courageuses de nous être mises ensemble parce que nous ne parlions pas français. Pardon?! Après mon oral, elle s'est excusée de ce commentaire, en ajoutant : "C'était agréable de vous entendre parler, vous parlez bien le français. Et en plus on vous comprenait bien." Tu m'étonnes!

Cela dit, j'aime bien les Français quand même.

Edit 20/11
J'oubliais!!! Je n'aime pas quand tu te forces à me parler anglais. Maudine, je parle FRANÇAIS!
Surtout si tu prononces "discount" comme "dis-quou-ne-te". Bon, j'exagère, mais j'entends ti-coune avec un T.

mardi 17 novembre 2009

Retour vers le futur

Ceci est mon troisième message en trois jours... alors que ceux qui se plaignent que je n'écris pas assez souvent aillent se rhabiller! (Chéri, c'est à toi que je parle! Ça va faire être toujours en bedaine, c'est presque l'hiver au Québec! Bon je m'éloigne un peu du sujet...)

Au début de mon fameux périple (oui oui, il est connu mon périple, j'ai 60 membres sur mon groupe Facebook! haha), je pensais à comment j'étais bien au Québec, je pensais à tout ce que je manquais, à tout ce qui me manquait... Bref, je vivais un peu dans le passé.

Aujourd'hui, c'est bien le contraire. Je vis dans le futur. Quand mon esprit part vagabonder dans de lointaines contrées, je pense au 22 décembre. Et ça arrive pas mal trop souvent. Je m'imagine, avec mon sac à dos, mon sac à ventre (un sac à dos qu'on met en avant, ça fait un sac à ventre, non?!), ma grosse valise et ma petite valise à motifs léopard (je ne l'ai pas encore, mais je l'ai spottée dans la vitrine d'un magasin...) sortir des douanes, complètement découragée car je sais que ce sera long et pénible. Puis, je passe les portes qui séparent le Canada de la zone internationale. Et là, les papillons sont au rendez-vous. Il y en a plus qu'à l'Insectarium quand il y a les papillons en liberté. J'oublie que mon sac à dos et mon sac à ventre sont lourds, il me pousse des ailes et je peste contre la tite meudame qui me bloque le chemin et la vue. Mais les papillons me crient de garder courage, me disent que j'y suis presque... Et soudain, je le vois. Les papillons font une envolée spectaculaire avec une petite musique quétaine, ils viennent me chatouiller les yeux (ce qui explique les larmes), je me débarrasse de mes sacs et je saute dans les bras de mon amoureux. Et là, je ne bouge plus pendant au moins quinze minutes (prépare-toi, mon amour!).

J'ai tellement hâte, vous ne pouvez pas savoir.

Là, vous me direz : mais est-ce que ça t'es arrivé de vivre dans le présent? Oui, ne vous inquiétez pas. J'ai profité à fond de mes voyages, de la présence de ma maman et de Charlène. Mais pour le reste, je dois dire que j'étais pas mal dans le passé ou dans le futur. Oui, j'ai une confession à vous faire. Ce n'est pas facile, parce que vous savez, en psychologie (clin d'oeil Charlène), on a ce qu'on appelle un biais positif (mon cours remonte à l'été 2008, ça se peut que je me trompe de concept, mais faites semblant que non). Le biais positif envers nous-mêmes fait en sorte que tout ce qu'on fait est bien. Par exemple, quelqu'un qui nous pousse dans le métro est un sauvage, mais si on pousse quelqu'un dans le métro, c'est qu'il était dans le chemin. Vous me suivez? Ça fonctionne aussi pour d'autres choses... Par exemple, si on hésite entre deux choses, disons un crayon bleu et un crayon rouge. Disons que je choisis le rouge. Sauf que quelques jours plus tard, je me dis que j'aurais dû choisir le bleu. Mais si quelqu'un me le demande, JAMAIS je n'avouerai que j'ai fait le mauvais choix, et tout ça est inconscient. Si, si, je vous le dis. On va se trouver des arguments pour prouver que le meilleur choix était le nôtre. Bon, ça c'est un exemple banal, mais ça peut s'appliquer à des choses plus sérieuses, disons... Ah oui Amélie, si c'était à refaire ton échange, le referais-tu?

Honnêtement, c'est difficile à dire. (C'est là ma confession dont je parlais tantôt.) Si j'étais normale, je dirais oh oui! c'est une expérience formidable, bla bla bla. C'est vrai. Mais je crois que je n'ai pas assez réussi à me détacher de ma vie au Québec. Donc j'ai l'impression de ne pas avoir vécu à fond mon expérience. Je sais que je parle comme si c'était fini alors qu'il me reste un mois, mais c'est un mois d'études et de travaux qui s'en vient, alors ce n'est pas là que ça va changer.

Je peux trouver un tas de choses positives à cet échange :
- Mes voyages, depuis le temps que j'en rêvais. Je suis quand même allée en Suisse, en Angleterre deux fois, en Belgique, en Bretagne et en Normandie. Sans oublier Paris de fond en comble. Ou presque... quand on est dedans, on remet toujours toutes les visites à plus tard.
- Le fait que je sois un peu plus indépendante face à Dominic. Mais je ne sais pas si ça va durer!
- L'augmentation de ma confiance en moi (voyager seule pour moi semblait quelque chose d'infaisable... et je l'ai fait!)
- Le fait que j'ai vu que j'étais capable de me faire des amis assez facilement, qui ne seront peut-être pas des amis pour la vie, mais tout de même, se lier d'amitié avec des Espagnols qui ne parlent ni français, ni anglais, je me trouve pas pire, hihi :)
- Le fait que je sais que mon pays, c'est le Québec et que ça m'étonnerait BEAUCOUP que ça change un jour. Je changerais peut-être de pays par amour, mais comme Dominic est un fier Québécois, ça m'étonnerait que ça arrive!

Mais aussi des aspects plus négatifs :
- J'ai refait des cours que j'avais déjà faits, et dans des conditions exécrables (marteau-piqueur, ahem). Je fais en ce moment mon QUATRIÈME cours de statistiques! Le samedi matin!!!!!!!!! Pis le prof explique pendant 30 minutes c'est quoi un mode!!!!!!!!!!!! Ce n’est pas compliqué, pense à LA mode. Sur 20 filles, 16 portent des leggings? Bon ben, la mode c'est les leggings. X revient 30 fois et Y 15 fois?. Bon ben, le mode c'est X.
- J'ai fait environ quatre cours de sociologie alors que, bordel, je suis en COMMUNICATION, pas en socio! Je sais, la com ça regroupe beaucoup de disciplines, mais svp... C'est pas juste de la socio, quand même.
- J'ai surtout vécu dans le passé ou dans le futur.
- Je suis une poule mouillée, alors je n'aime pas beaucoup sortir le soir (surtout depuis que j'ai vu un exhibitionniste avec Charlène), donc j'aime le confort de ma chambre. Et je me sens coupable, parce que je suis à Paris.
- Je n'ai plus une clisse de cenne (référence à la Galère d'hier soir pour ceux qui l'écoutent... Mais c'est vrai que je n'ai plus ben ben d'argent).

Donc, c'est ça, côté personnel c'est positif, côté professionnel non. Donc je suis assez embêtée de dire si je le referais. Mais maintenant que c'est fait, je suis très fière de moi, et c'est l'important. Ce n'est quand même pas rien de quitter son chum, sa famille, ses amis, tous ses points de repère pendant quatre mois pour apprendre à vivre dans une autre ville.

Bref, en quelques lignes, l'idée de ce message qui est encore très long (au départ, je pensais qu'il ferait dix lignes) c'est que je m'ennuie du Québec (et de tout ce qui vient avec), que je ne sais pas si je recommencerais l'expérience, mais qu'en tout cas, je ne le regrette pas.

(Je m'excuse pour la stupidité de mes commentaires et l'abus de parenthèses, surtout au début du message. C'est la fatigue. Je me trouve très drôle en plus.)

lundi 16 novembre 2009

Traduction français de France / français québécois

On parle la même langue en France et au Québec? Vous en êtes certains? Je me suis amusée à écrire un petit texte qui dit exactement la même chose, mais un avec des expressions de la France, et une autre avec des expressions du Québec. Bien sûr, celui du français de France n'est pas parfait... j'y suis allée avec ce que j'ai appris les trois derniers mois! Aussi, ce n'est pas une histoire véridique ou qui a du sens... Mon but était de "plugger" des expressions ;)

Français de France

Hier, j’avais cours et j’étais vraiment vannée. J’ai failli péter un câble quand j’ai dû me décaller car le mec voulait être avec la meuf. Je devais faire gaffe aux bancs cassés. Au déjeuner, j’ai conté mon week-end à mes copines, c’était tranquille, j’étais épuisée; du coup, j’ai fait du shopping et j’ai kiffé sur un pull. J’ai aussi parlé à mon copain, que j’ai tenté de convaincre de venir sur Paris. Mais je ne suis pas inquiète, on va se revoir en temps et en heure.

Aujourd’hui, j’ai sauté le petit déj., j’ai du mal quand je ne mange pas le matin. Ma copine, elle, avait la pêche, et m’as répondu : « Tu m’étonnes ». Elle m’a conté un truc de ouf, un mec chelou gueulait sur un beur dans le tromé, c’était vraiment relou.

Demain, ça craint, c’est la photo de classe, je dois être sur mon 31, alors je me casse, je vais dîner, allez, bisous.

Québécois

Hier, j’avais de l’école pis j’étais vraiment fatiguée. J’ai failli péter une coche quand j’ai dû me tasser parce que le gars voulait être la fille. Fallait que je fasse attention aux bancs pétés. Au dîner, j’ai raconté ma fin de semaine à mes amies, j’ai pas fait grand-chose, j’étais fatiguée, fack j’ai magasiné pis j’ai trippé sur un chandail. J’ai aussi parlé à mon chum, j’ai essayé de le faire venir à Paris. Mais ça m’inquiète pas, on va se revoir en temps et lieux.

Aujourd’hui, j’ai pas déjeuner, j’ai de la misère quand je mange pas le matin. Mon amie, elle, était en forme et m’as dit « ben c’est normal que tu sois fatiguée si t’as pas mangé ». Elle m’a raconté une histoire malade, un gars vraiment louche engueulait un arabe dans le métro, c’était insupportable.

Demain, c’est poche, c’est la photo de classe, je dois être sur mon 36, alors je vais souper, bye bye!

dimanche 15 novembre 2009

Je m'ennuie de...

L'homme de ma vie (et de Montréal en arrière-plan).

Ma famille!

Les Femmes de ma vie!

Mes ti-cocos et ma tite-cocotte (qui a beaucoup changé depuis que je l'ai vue), sans oublier Jacob, Elliott et Isaac :)

Mes filles d'la com!

Je m'ennuie aussi de mon voisin préféré Andrey, de toute ma famille, de toute la famille à mon chum, de..... la liste est longue.


Bref, je m'ennuie du Québec, de mon monde, de ma vie.

36 dodos! ;)

jeudi 12 novembre 2009

Nouvelles en photos à la télé

J'ai encore de la pression pour mettre mon blogue à jour...

Pas grand chose à dire... j'avais deux jours de congé et j'en ai profité pour faire la grasse matinée (me lever à 11 h, ça devait faire des années que je ne m'étais pas levée à cette heure là... sans être en lendemain de veille ou en décalage horaire) et pour voir Andréanne. Hier, nous avons étudié ensemble (un peu) et nous nous sommes fait à manger avant d'aller prendre un café et un dessert au resto. Aujourd'hui, elle avait des choses à aller acheter chez LaDurée et chez Lancel, alors nous sommes allées sur les Champs Élysées. Je n'ai mangé qu'un seul macaron! Si, si, je le jure. Ensuite, je suis allée jaser avec elle à son école (Sciences Po), où j'ai croisé Thomas (avec qui j'allais à Bourget)!

Sinon, dans les derniers jours ça a été assez tranquille... les examens s'en viennent, j'essaie de commencer à étudier. Puis j'ai aussi ma nouvelle à écrire. Mais je suis vraiment pourrie pour écrire! Je n'ai aucune inspiration. Sauf pour mon statut Facebook... désolée pour ceux qui l'ont vu, mais je me trouve tellement drôle!!! J'ai écrit : "Amélie Beaulac espère que son prof d'atelier d'écriture est d'accord avec le dicton "Pas de nouvelle, bonne nouvelle"." Avouez que c'est très drôle. Mais courage, plus que... 28 pages à écrire, en un mois moins un jour! Plus l'étude... ouf.

Aussi, j'ai gagné un photoshoot!!! Oui oui, moi qui ne gagne jamais rien (mais personne ne gagne jamais rien). J'étais sur le groupe Facebook de la photographe Amélie Cousineau, qui voulait passer d'un groupe en une page corporative... Pour avoir le plus de gens possible qui la suive, elle a organisé un concours, elle fait un tirage une fois par semaine pour un photoshoot d'une heure et un agrandissement. Et j'ai gagné cette semaine!!! :)

Finalement, demain je vais sur un plateau télé! Le Celsa a été invité à l'émission "Vous aurez le dernier mot" sur France2, et pour avoir de la visibilité, il devait y avoir au moins 40 celsiens dans la salle, alors mes amies et moi nous sommes sacrifiées. J'ai eu un appel d'un monsieur tantôt pour me donner les infos, et je dois m'habiller "flashy", pas de noir, pas de blanc, pas de gris. Vous savez quoi? Ça me laisse le choix de trois tenues seulement lol! Et ce n'est pas ce que j'aurais choisi pour passer à la télé... mais bref.

Sinon euh.......... C'est ça! Je cherche de la motivation pour mon étude (et ma nouvelle), alors si vous en avez en trop, demandez-moi mon adresse, je vais vous la donner avec plaisir. À bientôt!

dimanche 8 novembre 2009

Chocolat fondu

Conseils d'utilisation :
Tournez votre écran de 90 degrés vers la droite. :)


J'espère que vous avez bien apprécié le vidéo :) Nous en tout cas, on a bien apprécié le chocolat chaud ainsi que notre pâtisserie. Malgré le fait qu'il était près de 16 h et que je n'avais pas déjeuné (ou dîné...), je n'ai pu terminé ni le chocolat chaud, ni mon millefeuille. Overdose de sucre. Mais miam..... Vive Angelina (près du Louvre!). Je ne vous parle même pas de la facture, qui a causé notre mal de coeur après.

Donc voilà, Charlène est revenue de Marseille mercredi soir, et jeudi nous sommes allées au Louvre, manger chez Angelina, puis se promener sur les Champs Élysées. Nous avons bien sûr mangé des macarons de Chez LaDurée (impossible de passer par la plus belle avenue du monde sans y faire un arrêt). Nous avons été assez sages, nous avons dépensé un peu au Zara, mais ça vallait la peine, j'ai la plus belle ceinture à plumes du monde, et aussi de nouvelles bottes (les miennes étaient trouées!). Charlène a une nouvelle tunique à paillettes (elle trippe sur les paillettes et moi, sur les plumes). Nous sommes entrées chez Louis Vuitton et j'ai vu LA sacoche. Mais bon, soit je reviens au Québec, soit j'achète LA sacoche... Mais si quelqu'un veut me faire un cadeau, il sait quoi m'acheter... La plus petite est 1 100 euros seulement. (Modèle Sistina, en toile damier brun, et non blanc, pour les intéressés.) Puis le soir, Charlène a rencontré mes amies françaises chez l'une d'entre elles.

Vendredi, j'avais cours pas mal toute la journée, alors Charlène est allée visiter le Château de Versailles, ainsi que les Galeries Lafayette! Ensuite, en soirée, nous sommes allées voir la tour Eiffel de soir (nous avons même eu droit à un spectacle sons et lumières). Ce qui est bien, c'est qu'ils changent la couleur des lumières régulièrement, alors je ne la voie jamais pareil. Vendredi, elle était bleue et blanche, c'était joli! Ensuite, nous sommes allées prendre un verre à la Bastille.

Samedi, on voulait une journée relaxe, alors nous sommes allées à la Défense. Nous avons monté dans l'impressionnante Grande Arche. Il y avait une exposition d'informatique, avec pleins de vieux ordinateurs IBM (clin d'oeil, clin d'oeil). C'était bien joli la vue! Mais la vraie raison de notre déplacement à la Défense, était le centre commercial Les 4 temps. Ça me manquait vraiment un centre commercial!!! Nous sommes aussi retournées sur les Champs Élysées, où nous sommes allées encore une fois chez LaDurée. Nous avons acheté des pâtisseries pour souligner le dernier souper de Charlène, mais nous avons été déçues, elle par le goût de la rose, et moi par le millefeuille qui n'arrivait pas à la cheville de celui d'Angelina. Finalement, nous avons essayé un restaurant au coin de la rue chez moi et c'était bien bon, un classique faux-filet, sauce au poivre, avec un bon verre de vin pour notre dernier dîner ensemble.

Ce matin, je suis allée reconduire Charlène jusqu'au RER à la Gare du Nord et maintenant j'écris ce blogue pendant que le vidéo télécharge (et c'est long). À la gare, il y avait encore un gars louche qui nous tournait autour, mais on l'a semé! On attire les agrets, c'est la vie.

Merci Charlène pour la dernière semaine et demie que tu as passée avec moi! Je t'aime fort :)

mardi 3 novembre 2009

Bretagne, Normandie, Londres et marteau-piqueur (bis)

Préparez-vous, c’est long! Plus de quatre pages Word simple interligne… ça m’a pris environ deux heures.

Avant de me faire bouder par mon chum, je mets mon blogue à jour… !

Les derniers jours ont été extrêmement occupés! D’ailleurs, mes yeux qui peinaient à rester ouverts aujourd’hui durant mon deuxième cours l’ont bien prouvé.

Mercredi dernier, Charlène est arrivée. Je suis allée la chercher à l’aéroport, que j’ai pu visiter, car son terminal d’arrivée a changé à la dernière minute alors j’ai fait le tour. La joie des aéroports. En plus, mon billet de RER ne passait pas au retour, ce qui fait que je ne pouvais pas sortir d’où j’étais. Heureusement que j’ai pu passer en même temps que quelqu’un (mais c’est fâchant d’avoir l’air d’une voleuse alors que j’ai payé 8,50 euros). Mais bon, au retour tout s’est bien déroulé! Nous sommes arrivées chez moi et nous sommes rapidement reparties pour que Charlène reste éveillée malgré le décalage. Nous avons donc été à la Tour Eiffel et nous avons décidé d’affronter la file pour y monter. Après 45 minutes d’attente, nous étions quelque peu découragées, mais nous n’avons pas abandonné. Donc, plus de sept ans plus tard, nous étions à nouveau à la Tour Eiffel ensemble.

Voici un petit quelque chose que nous nous sommes remémoré, et qui plaira à certaines d’entre vous :
Aux Champs Élysées
Aux Champs Élysées
Palapapapa
Au soleil,
Sous la pluie,
À quatre et demie,
J’monte dans Tour Eiffel,
Avec mes amies!

Mais quel souvenir, n’est-ce pas!

Du haut de la Tour, nous avons aperçu la réplique de la statue de la Liberté, qui ne nous semblait pas si loin que ça. Nous y sommes donc rendues, mais finalement c’était pas mal loin, et on l’a seulement vu de côté. Ensuite, nous nous sommes promenées un peu sur l’île Saint-Louis et l’île de la Cité, avant de revenir chez moi. En soirée, Charlène a eu un regain d’énergie, mais nous devions tout de même nous coucher, car une longue journée nous attendait le lendemain.

En effet, jeudi vers 5 h 30, nous nous sommes réveillées pour aller prendre le train à 7 h 05 à la gare Montparnasse, direction Rennes. C’est vraiment spécial, lors de notre voyage en 2002, Charlène avait rencontré des amis de ses parents pour déjeuner (ou dîner, c’est selon) à Reims, et je l’avais accompagnée. Je me souviens seulement du verre de vin et de la soupe à l’oignon. Presque huit ans plus tard, nous retrouvions Nicole et Guillaume, ainsi que leur fille Marie-Anne et son bébé tout neuf Arthur, à Rennes. C’est quand même spécial que Charlène m’ait « choisie » lors de notre voyage scolaire pour aller avec elle à Reims, et que plusieurs années plus tard, je sois encore avec elle pour les revoir.

Nous avons été reçues merveilleusement bien, avec galettes bretonnes et viennoiseries pour petit-déjeuner. En avant-midi, nous sommes allées visiter Rennes, surtout le vieux Rennes. C’est vraiment une ville magnifique, comme toutes les villes d’Europe j’en ai bien l’impression. Malgré le fait que la Bretagne est reconnue pour son mauvais temps, il faisait très beau et très chaud (pour l’automne). De retour à la maison, nous avons déjeuné et tout était délicieux, même l’espresso (nous ne sommes pas habituées à boire ça!). En après-midi, bébé Arthur et ses coliques nous ont tout de même permis d’aller au mont Saint-Michel. Wow, c’était vraiment magnifique. C’est un petit village fortifié, les rues à l’intérieur sont comparables à celles de Carcassonne. Et le soir, avec toutes les lumières, c’était vraiment très beau.

En soirée, nous sommes retournées à Rennes pour le dîner, et nous avons repris le train à 21 h. Nicole et Marie-Anne semblaient très impressionnées que nous nous soyons déplacées pour une seule journée, mais pour nous ça semblait normal. La Bretagne et la Normandie en un peu plus de douze heures? Why not? Elles nous ont agacées un peu sur notre emploi chargé, mais c’était bien sympa!

Revenues à la gare Montparnasse, il était rendu 23 h 30 environ (notre train est arrivé en avance! Du jamais vu, paraît-il!). Ma ligne de métro (la 13) se sépare en deux, il y a donc un train sur deux que je ne peux pas prendre. Alors que nous attendions, la mauvaise ligne est arrivée et un homme à l’air louche est monté dedans. Quand le wagon est parti, j’ai dit à Charlène qu’une chance qu’il était monté dans celui-là, car il était étrange. Fin de l’histoire.

Mais non! À la station suivante, devinez qui est venu s’asseoir juste devant nous? LE GARS LOUCHE!!!! Le métro était vide, mais non, il est venu devant nous. Charlène et moi on s’est vraiment regardées et nos regards voulaient tout dire. Bref, je crois que nous avons eu droit à un exhibitionniste (ou de quoi dans le genre), même si nous n’avons rien vu… Le voir passer sa main sous son papier journal suffisait largement. Étrangement, lorsque le métro s’est rempli et qu’un autre mec est venu s’asseoir à côté de lui, ses ardeurs se sont calmées. Heureusement, il est sorti une station avant nous. Bref, ce n’était juste pas agréable et j’étais bien contente de ne pas avoir été seule. Je serais sans doute allée m’asseoir avec les trois mecs assis plus loin, et c’est moi qui aurais eu l’air louche!

Le lendemain, soit vendredi, nous sommes parties de chez moi vers 8 h pour aller prendre l’avion à Charles-de-Gaulle, direction Londres! On s’est rendu compte que les vols low cost étaient dans un terminal low cost, mais tout s’est bien déroulé malgré la demi-heure de marche nécessaire du RER au terminal (oui, j’exagère. Mais à peine.). Dans l’avion, nous avons profité du _________ (voilà, appel à tous, comment appelle-t-on un monsieur hôtesse de l’air?) pour acheter nos billets de train de Londres-Luton au centre de Londres, nos passes de métro Oyster et nos billets pour le musée de Mme Tussauds. On a dû l’accaparer une vingtaine de minutes pour nos billets et le paiement (il a fait des erreurs, ce n’était pas de notre faute!). Sur un vol d’une heure, ça paraît quand même… Bref, le pauvre gars a eu le temps de faire six rangées dans tout l’avion. Au moins, nous, nous avions nos billets!

Le vendredi, nous n’avons pas eu le temps de faire tout ce qui nous avions prévu (en fait, rien du tout). Nous avons mangé au Wagamama (restaurant qui peut être comparé au Zing), nous nous sommes installées à l’auberge de jeunesse (qui était très bien soit dit en passant, même si nos colocataires étaient peu – pas - jasantes) et nous avons commencé à visiter un peu, malgré la tombée de la nuit. Nous avons vu le Buckingham Palace et le Picadilly Circus. Le soir, nous avons mangé dans un charmant restaurant sur Marylebone Lane, pour un délicieux et traditionnel fish n’ chips. Le restaurant était miniature, et on était assis à côté de deux Québécois au début! Comme quoi le monde est petit.

Le lendemain, levé tôt, vers 7 h. Nous avons pris l’autobus de touristes (on l’est ou l’est pas) pour faire le tour de la ville. Notre premier arrêt s’est fait au musée de Mme Tussauds. On a eu tellement de plaisir! C’est le musée de cire avec toutes les stars. On a pris la pose avec Brad Pitt, le pape Jean-Paul II, Les Beatles et même Shrek. Il y avait aussi une section horreur, ça tombait bien pour l’Halloween. Finalement, c’était plus stressant qu’épeurant. Il y avait aussi un petit tour de manège que j’ai adoré, c’était magnifique, dommage qu’on ne pouvait pas prendre de photo. On était dans un demi-taxi (les fameux black cabs) pour voyager dans l’histoire de Londres. C’était cher, mais ça valait vraiment le coût.

On se demandait qui était Mme Tussauds, voici la réponse, merci Wikipédia :
Marie Tussaud (17611850) née en France à Strasbourg suivit sa mère, devenue veuve durant sa grossesse, à Berne où elle travailla comme femme de ménage pour Philippe Curtius, un médecin reconverti en artiste-sculpteur. Le médecin prit la jeune fille sous son aile et la forma à la sculpture en cire. (…) Marie Tussaud réalisa ses propres figures à partir de 1777 avec celle de Voltaire, suivie en 1778 par celles de Jean-Jacques Rousseau et Benjamin Franklin. Marie sera prise dans le tumulte de la Révolution française. Elle sera condamnée à la guillotine pour ses relations avec la noblesse mais sera grâciée (sic) pour ses talents. Elle est alors employée pour réaliser les masques mortuaires des décapités, dont certains de ses amis.
Après cette visite, nous avons mangé dans un genre de pub. C’était bien bon. Nous avons été relativement chanceuses niveau bouffe, malgré le fait qu’on dise que Londres n’est pas reconnu pour sa gastronomie. Après le midi, nous avons continué le tour d’autobus pour aller voir le London Eye, le Tower Bridge (nous avons passé dessus comme les Spice Girls dans leur film) et le London Tower, entre autres. Nous avons pris le bateau du London Tower jusqu’à Westminster pour voir Houses of Parliament, abbaye de Westminster, ainsi que le Buckingham Palace de jour. Nous avons aussi pris une photo avec des gardes au chapeau de poils, selon le souhait de Charlène ! =) Nous sommes aussi retournées au Picadilly Circus, ce Times Square londonien, et vraiment, le nombre de gens là, c’est atroce. Surtout que nous étions à la recherche d’une carte mémoire pour l’appareil photo de Charlène (la sienne l’a lâchée) et que nous ne trouvions pas de magasins d’électronique. Nous étions un peu découragées.

Le samedi soir, nous sommes allées chez Marie-Anne (la fille des amis aux parents à Charlène, qui était de retour chez elle à Londres après son séjour à Rennes) et Cédric. Nous avons parlé bébé (ce qui ne nous a pas du tout dérangées, malgré le fait que Marie-Anne semblait en être gênée), Cédric nous a posé les mêmes questions que Guillaume, Nicole et Marie-Anne nous avaient posées à tour de rôle et nous avons commandé de la bouffe, de l’asiatique pour Charlène et Marie-Anne, de l’indien pour Cédric et moi. Nous avons donc passé une très agréable soirée.

Dimanche, il pleuvait et nous voulions trouver des activités peu chères, donc nous avons commencé par le British Museum, qui était gratuit. C’était bien, mais surtout les momies. J’ai d’ailleurs été un peu traumatisée. Il y avait des vraies de vraies momies, mais je ne l’ai pas réalisé jusqu’à ce qu’on voit une radiographie des momies. C’est incroyable, les techniques que les Égyptiens avaient !!! Des milliers d’années plus tard, et leurs os sont encore là, avec certains de leurs organes. C’était vraiment spécial.

Nous avons mangé au Itsu, un concept vraiment génial. C’était un restaurant asiatique, avec des sushis, mais aussi de la soupe et autres petits mets. Le principe, c’est que les assiettes tournent autour du bar, tu prends ce que tu veux, et tu es chargé en fonction du nombre d’assiette que tu as pris et de leur couleur (le prix variant). J’ai été un peu déçue d’apprendre qu’il y avait le même principe à Paris et en Allemagne, mais vraiment, le concept est génial, malgré que ça revienne assez cher !

L’après-midi, nous avons été au Natural Science Museum (gratuit lui aussi !). C’était vraiment magnifique, juste l’intérieur. Nous avons visité la section des dinosaures, des mammifères et du corps humain. Dans le parcours du corps humain, c’était hyper intéressant, il y avait des jeux pour la mémoire et les réflexes, et il y avait même une salle visant à recréer l’ambiance qu’il y a dans un utérus, alors le cœur d’une mère et tout. Spécial, mais intéressant.

Le soir, nous voulions aller manger à Nothing Hill (oui oui, juste pour le film). Finalement, ce fut notre pire repas, mais on a quand même eu une belle soirée, malgré que le Starbucks était fermé après !

Nous sommes retournées à l’auberge par la suite pour nous préparer au retour lundi matin. Notre avion étant à 8 h, nous devions nous lever très tôt. Charlène avait réservé un taxi pour 5 h 15. Malheureusement, ce n’était pas un traditionnel black cab, mais le monsieur était bien sympathique, malgré son accent british-indo-cure-dents.

Heureusement que nous avions décidé de prendre le taxi et non d’attendre le premier métro, sinon nous aurions été très justes, d’autant plus que nos cartes d’embarquement n’étaient pas bonnes. Aux douanes, celle de Charlène indiquait qu’elle partait en janvier, et moi ça disait que j’avais déjà passé les douanes. Nous avons donc dû aller au bureau d’enregistrement, mais heureusement que Charlène est allée demander au bureau d’information EasyJet s’il y avait un moyen de passer plus rapidement, et nous sommes allées au SpeedBoard. Au retour, nous avons dormi, puis je suis passée chez moi, avant d’aller à l’école. Le soir nous avons écouté un épisode de Gossip Girl et un film (The Proposal). Soirée relaxe, qui a fait du bien.

Aujourd’hui, Charlène est partie pour Marseille (et elle m’a appelé tantôt pour me faire écouter le bruit de la mer… c’est chien, moi j’entendais la pluie). Elle revient demain soir. Moi je suis allée à l’école aujourd’hui, chouette !

Parlons-en de l’école, malgré qu’il ne me reste plus beaucoup d’énergie. Je vous avais parlé du marteau-piqueur… Depuis un mois ça c’était calmé. Mais cette semaine c’est l’ENFER !!! Il est à deux mètres de nous. UN MARTEAU-PIQUEUR, ÇA FAIT DU BRUIT !!! PIS QUE LA DIRECTRICE ME DISE DE PENSER À L’AN PROCHAIN ÇA ME POMPE ENCORE PLUS, JE SERAI PAS LÀ L’AN PROCHAIN !!!!!!!!!!! COMMENT VOULEZ-VOUS QU’ON APPRENNE QUELQUE CHOSE AVEC UN ****** DE MARTEAU-PIQUEUR ??? Pas un marteau, une drill, ou un tournevis là, un putain de MARTEAU-PIQUEUR. Qui fait des trous dans le béton. UN MARTEAU-PIQUEUR pendant qu’on est en cours, et que le prof doit crier dans le micro pendant que tout le monde parle parce que c’est insoutenable. Oui oui, un MARTEAU-PIQUEUR. Le prof de ce matin, après à peine dix minutes, n’en pouvait plus, et il est allé chercher la directrice pour lui faire comprendre dans quelle situation d’apprentissage on était. MAIS BORDEL, TOUT CE QU’ELLE TROUVE À DIRE C’EST QUE ÇA VA ÊTRE BEAU L’AN PROCHAIN. MAIS VOUS AVEZ PENSÉ À QUOI, FAIRE DES TRAVAUX AVEC UN MARTEAU-PIQUEUR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Désolée pour toutes ces majuscules, mais je me défoule comme je peux.

Non, mais un putain de marteau-piqueur à deux mètres de la salle, vous en rendez-vous compte ! Je sais que c’est incroyable, mais je vous le jure !